A la demande d’Agnès Schwartz, Fabienne Brugel a fait le 25 janvier 2018 une intervention de quatre heures auprès d’étudiants en Master 2 (psychosociologie du travail) sur le Théâtre de l’Opprimé. Voici leur bilan à l’issue des quatre heures passées ensemble.
– C’est différent des jeux de rôle, c’est utile car c’est sur une situation réelle.
– C’est épanouissant et aidant car on a d’autres visions sur les situations.
– C’est vivant car on n’est pas que sur le récit de la situation, ainsi on la ressent mieux.
– C’est rafraichissant et épanouissant car le corps est mobilisé.
– C’est atypique, une approche différente…
– Ca donne de l’élan
– C’est super; on a déjà simulé des entretiens mais là c’est à partir du vécu. On peut aussi se dégager car on ne joue pas son propre rôle.
– Je me suis confronté au réel.
– C’est surprenant qu’on se soit posé autant de questions, que ça fasse autant travailler et que ça bouscule alors qu’au début ça a l’air simple.
– C’est une approche différente.
– Intéressant et épanouissant.
– Je n’ai pas eu l’impression de travailler.
– On a le droit de se tromper, de rembobiner la situation pour recommencer…
– Ca réalise les potentiels, ce qui est en puissance, cela fait émerger les autres possibilités auxquelles je n’avais pas pensé.
– C’est rapide et pourtant, il y a des pistes de solutions qui arrivent.