Le deuxième week-end du grand chantier « Travail »

L’enthousiasme ne faiblit pas. Pour le deuxième week-end de notre grand chantier national, consacré cette année au thème du travail, nous étions encore, selon les moments, entre 60 et 70 participants pour écouter, proposer, réagir, improviser… 
 
Le samedi après-midi, pendant la première partie de la séance, le grand groupe s’est divisé en deux. Un premier sous-groupe a travaillé avec Perrine et Jota sur les objets que nous avions apporté en lien avec notre travail ; un second a travaillé avec notre intervenante, Selma Reggui, sur deux thèmes : la fragilité et l’autocensure. Pendant la deuxième moitié de la séance, celles et ceux qui ont travaillé sur les thèmes proposés par Selma ont montré leurs improvisations en grand groupe et nous en avons discuté. Enfin, nous nous sommes mis en petits groupes pour relater des situations personnelles concernant les thèmes abordés.
 
Le dimanche matin, nous avons renouvelé le même mode de travail. Le groupe s’est de nouveau partagé en deux, une moitié sur les objets en lien avec notre travail et une moitié avec Selma pour travailler cette fois sur deux thèmes nouveaux : la violence et la reconnaissance. Puis les improvisations théâtrales ont été montrées au grand groupe et nous avons échangé dessus.
L’après-midi, nous avons pris le temps de nous exprimer en petits groupes sur ce que produit sur nous ce chantier sur le travail et comment nous le vivons. Enfin, nous avons écouté une conférence d’Eric van de Graaf, psychosociologue en Belgique.
 
1/ L’intervention de Selma Reggui
2/ Le travail sur les objets
3/ La conférence d’Eric van de Graaf
 

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